Sous ce saule pleureur, je souris
8.42/10. merci le jury
Je me souviens, j'étais une enfant
Ma jolie cousine, cette parigote
Venait chez nous une fois par an
Elle était mignonne et si rigolote.
On ne se quittait plus pendant un mois
Tous les jours on allait à la rivière
On s'amusait à l'orée du petit bois
Quelque fois, on jouait à la lavandière.
Il y avait un grand saule pleureur
Ses longs cheveux touchaient l'eau
On se cachait à l'intérieur
Derrière son immense rideau.
Le saule pleureur est toujours là
Quand je reviens dans ce magnifique coin
Comme aujourd'hui, il me tends ses bras
Sur l'eau, des canards chantent leur "coin coin "
Je me souviens aussi d'un cousin
Qui inventait toujours des tours de con
Avec la complicité de mon frangin
Il fit la course sur le dos d'un cochon.
La pauvre bête voulant se débarrasser
De ce poids, trop gênant sur son dos
En se débattant, elle l'envoya planer
Il retomba le nez dans la vase, l'idiot.
Ma cousine et moi étions plutôt sages
On s'amusait de voir les deux garçons
Qui n'avaient pas les idées en cage
Rien ne pouvait arrêter ces deux polissons.
Que ne donnerais-je pas
Pour revenir en enfance
Et retrouver ces moments là
Faits de joie et d’insouciance.
8.42/10. merci le jury
Je me souviens, j'étais une enfant
Ma jolie cousine, cette parigote
Venait chez nous une fois par an
Elle était mignonne et si rigolote.
On ne se quittait plus pendant un mois
Tous les jours on allait à la rivière
On s'amusait à l'orée du petit bois
Quelque fois, on jouait à la lavandière.
Il y avait un grand saule pleureur
Ses longs cheveux touchaient l'eau
On se cachait à l'intérieur
Derrière son immense rideau.
Le saule pleureur est toujours là
Quand je reviens dans ce magnifique coin
Comme aujourd'hui, il me tends ses bras
Sur l'eau, des canards chantent leur "coin coin "
Je me souviens aussi d'un cousin
Qui inventait toujours des tours de con
Avec la complicité de mon frangin
Il fit la course sur le dos d'un cochon.
La pauvre bête voulant se débarrasser
De ce poids, trop gênant sur son dos
En se débattant, elle l'envoya planer
Il retomba le nez dans la vase, l'idiot.
Ma cousine et moi étions plutôt sages
On s'amusait de voir les deux garçons
Qui n'avaient pas les idées en cage
Rien ne pouvait arrêter ces deux polissons.
Que ne donnerais-je pas
Pour revenir en enfance
Et retrouver ces moments là
Faits de joie et d’insouciance.
Dernière édition: