Quand je te vois vêtue de cette robe noire
Je suis comme un enfant qui a perdu son savoir,
Ton sourire, qui, en plus, illumine cet habit,
Fait de toi une reine de notre beau pays.
Décolleté ravageur qui laisse apercevoir
Une peau bien halée, et un soutif tout noir
Qui cache une poitrine alléchante à souhait
Par sa forme et son goût, que j’aimerais bien lécher.
La robe effleure ton ventre, et maquille tes hanches,
Peut-être qu’elle cache une culotte blanche,
Mais qu’importe la couleur, les dentelles, les frous frous,
Car je sais qu’elle abrite un merveilleux minou.
Un minou coloré, ambitieux et fragile,
Et dès qu’on le chatouille, il devient volubile
Avec ces mots à lui, il m’attire, me séduit,
Je l’ai d’ailleurs nommé l’incomparable fruit.
Cet habit de lumière qui tombe à mi-cuisses
Est vraiment très sexy, putain, quel sacrifice
Quand j’t’ai vu ce matin et que j’n’ai pu toucher
Ce corps, cette dynamite qui me fait tant rêver.
Paradoxalement, et malgré mon estime
Que j’ porte à ce vêtement qui n’a rien d’anonyme,
J’adore le dégrafer, et laisser apparaître
Le corps d’une poupée que j’adorerais paître.
Je suis comme un enfant qui a perdu son savoir,
Ton sourire, qui, en plus, illumine cet habit,
Fait de toi une reine de notre beau pays.
Décolleté ravageur qui laisse apercevoir
Une peau bien halée, et un soutif tout noir
Qui cache une poitrine alléchante à souhait
Par sa forme et son goût, que j’aimerais bien lécher.
La robe effleure ton ventre, et maquille tes hanches,
Peut-être qu’elle cache une culotte blanche,
Mais qu’importe la couleur, les dentelles, les frous frous,
Car je sais qu’elle abrite un merveilleux minou.
Un minou coloré, ambitieux et fragile,
Et dès qu’on le chatouille, il devient volubile
Avec ces mots à lui, il m’attire, me séduit,
Je l’ai d’ailleurs nommé l’incomparable fruit.
Cet habit de lumière qui tombe à mi-cuisses
Est vraiment très sexy, putain, quel sacrifice
Quand j’t’ai vu ce matin et que j’n’ai pu toucher
Ce corps, cette dynamite qui me fait tant rêver.
Paradoxalement, et malgré mon estime
Que j’ porte à ce vêtement qui n’a rien d’anonyme,
J’adore le dégrafer, et laisser apparaître
Le corps d’une poupée que j’adorerais paître.
